« Le cerveau se développe là où nous l’utilisons avec enthousiasme ». André Stern.

Il y a des choses que l’être humain fait sans se poser de question. 

Manger. 
(Pas quoi, parce que ça, ça peut être casse-tête hein… mais sur le fait même de manger)

Boire. 
(Même si une Pina Colada au bord du Pacifique est plus agréable qu’un verre d’eau du robinet à Vesoul…)

Se reproduire. 
(Sans, la Terre s’en porterait peut-être mieux, mais il n’y aurait plus personne pour fêter Noël!!!)

Avoir un comportement maternel avec nos enfants. 
(Sinon se reproduire ne servirait à rien: les bébés ne survivraient pas). 

Bon. 

Tout ça, on est bien d’accord, ce sont des activités essentielles pour la survie de l’individu et de l’espèce. 

(Quoi que pour la Pina Colada, on n’en est pas encore sûrs!)

Bref. 

On est d’accord que si on ne faisait pas tout ça…. il y aurait un souci. 

La nature étant super intelligente… la sélection naturelle s’est démerdée pour qu’on ressente du PLAISIR à faire toutes ces choses. 

Justement pour qu’on continue!

(Ah bah si alors, vous voyez que la Pina Colada c’est ok!!!
Et c’est pour ça que les régimes stricts pour perdre nos kilos de grossesse ne fonctionnent pas les filles!)

Mine de rien, le fait qu’on ressente du plaisir à faire toutes ces choses, ça a créé dans notre cerveau ce qu’on appelle le circuit de la récompense. 

Je fais un truc. 

Bim, je suis récompensée en retour. 

Donc? 

Je continue! 

C’est un conditionnement. 

Et la nature, toujours pas bête, a élargi l’expérience avec TOUTES les expériences plaisantes que l’on va apprendre au cours de notre vie. 

Je ne sais pas si vous commencez à voir où je veux en venir….

Parce que ce fameux circuit de la récompense, là, il oriente carrément TOUS nos comportements. 

En gros, on fait tout pour ressentir ce plaisir. 

Et ça rend « accro »… parce que le cerveau produit de la dopamine, un neurotransmetteur qui est très addictif! 

ça peut être positif. 

Dans ce cas on parle de passion. 

(Pour le tricot ou la pétanque hein, chacun son kiff). 

Mais ça peut aussi déraper… 
(Parce que c’est à cet endroit qu’agissent la plupart des drogues)

BREF…..

Vous voyez bien que si on arrive à faire en sorte que l’enfant produise de la dopamine dans ses temps d’apprentissages…
(Quels qu’ils soient et à n’importe quel âge)

FORCEMENT

AUTOMATIQUEMENT

De façon LOGIQUE… 

Il va y retourner. 

En vouloir plus. 

Encore et encore. 

Rien de magique ou d’ésotérique là dedans, vous l’avez compris. 

Bon. 

Du coup. 

Imaginons un gamin qui se passionne pour les tracteurs.

Rien que voir les tracteurs lui produit un shoot de dopamine. 

Il va donc chercher à réitérer l’expérience. 

Il va s’intéresser aux tracteurs. 

Va vouloir grimper dessus. 

Comprendre comment ça fonctionne. 

Et quelques semaines plus tard, va être incollable. 

Même le fermier du coin va être épaté. 

Si, en plus, vous achetez des livres. 

Vous lui proposez des nomenclatures. 

Vous créez tout un espace de découvertes et d’apprentissages sur le sujet? 

Vous allez UTILISER cette passion pour qu’il apprenne tout un tas d’autres choses super utiles. 

Comme lire et écrire. 

L’orthographe et la grammaire.

Compter et calculer. 

Et tout le reste. 

Le cerveau se développe. 

Il s’expand, développe ses connaissances et ses compétences, augmente sa concentration et son attention…. 

Là où nous l’utilisons avec enthousiasme. 

Sinon? 

Vous allez me dire: mais ça sert à quoi d’apprendre les parties d’un tracteur? 

Et vous aurez raison: ça ne sert à rien. 

Pour vous. 

A cet instant de votre vie. 

Parce que ça ne produit pas de dopamine. 

Vous aurez du mal à vous investir dans cet apprentissage. 

Et donc cela va vous demander plus d’effort. 

Un peu comme le théorème de Pythagore à l’école, vous voyez?

Mais, c’est quand même un peu bête, non? 

Parce que si on arrivait à utiliser la dopamine que le cerveau de l’enfant produit quand il est enthousiaste… 

ET 

Si on arrivait à lui en faire PRODUIRE, quasiment sur demande…

Vous imaginez comment seraient les apprentissages? 

JOYEUX. 

« Faciles ».

Pas dans le sens où il n’y aurait plus d’efforts à faire, mais dans le sens où l’effort ne pose pas de problème parce qu’on se sent boosté par la dopamine! 

 

Efficaces, parce que l’énergie développée et les efforts fournis amènent d’office à la compétence. 

A chaque fois que je rencontre des individus, enfants comme adultes, qui ont la chance de s’adonner à leur passion, je suis bluffée par le niveau de compétence acquis. 

Du coup, j’ai voulu reproduire cet effet de la dopamine et de l’enthousiasme avec les enfants. 

ça répondait à un problème que je rencontrais: motiver les enfants pour les apprentissages. 

J’ai alors créé un espace dans ma classe, réservé à ça. 

Dans une étagère, un ensemble de matériels issus de plusieurs pédagogies, dont Montessori, Reggio, Waldorf… 

Cette façon d’amener les apprentissages, mais aussi de voir notre rôle en tant qu’adulte, ce positionnement particulier et tout cet art d’utiliser l’enthousiasme de l’enfant et de le provoquer… 

J’en parle régulièrement dans mes mails. 

Notamment: 

L’outil dynamique que j’ai créé pour construire votre approche basée sur l’enthousiasme. 
(Qui va aussi vous permettre de « diagnostiquer » où se trouve précisément le problème quand l’enfant s’oppose ou n’est pas très motivé à apprendre. Une fois que vous aurez posé le diagnostic, vous allez être en mesure de savoir précisément où agir pour rétablir la production de dopamine et comment reprendre les choses depuis le début pour que l’enfant ait envie de s’engager dans n’importe quel apprentissage)

La démarche inspirée de la pédagogie Montessori, pour proposer des choses qui font sens chez l’enfant. 
(Parce que parfois la motivation est un feu de paille, et l’enthousiasme s’effondre rapidement, dès qu’on rentre dans la partie un peu ingrate de l’apprentissage, celle des échecs, de l’entraînement et de l’endurance)

La pratique issue de l’approche Reggio pour déclencher le shoot de dopamine, par un chemin détourné.
(Ce qui vous permet, du coup, de ramener l’enfant sur à peu près tous les apprentissages. C’est littéralement un hack que tous les parents et pros devraient savoir). 

Le rituel issu de la pédagogie Waldorf pour émerveiller les enfants. 
(Parce que l’émerveillement, les paillettes et tout ça, c’est un excellent déclencheur de dopamine! Ce n’est pas pour rien que le parc d’attraction au château rose fait autant de millions d’entrées chaque année, et qu’il y a des accros à cet univers!)

L’étagère un peu spéciale, que j’ai développée et installée dans ma classe ainsi que chez moi, pour ma fille… et qui va vous permettre, à partir de ce qui enthousiasme l’enfant, d’aborder de façon détournée tous les autres apprentissages. 
(Je vous explique comment la concevoir, quels sont les éléments à mettre dedans, comment veiller à ce que cette installation parle à tous les enfants, et je vous décortique l’un de nos derniers exemples). 

Si vous voulez grimper dans le wagon de la dopamine, ce n’est pas compliqué: 

C’est ici, dans mes mails quotidiens. 

J’espère vous accueillir très très nombreux dans cette belle aventure, parce que plus que jamais, les enfants ont besoin de dopamine! 

Positivement,

Victoria